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Catherine Sauron : « la réfléxothérapie, un complément à la médecine allopathique »

Catherine Sauron :  « la réfléxothérapie, un complément à la médecine allopathique »
Catherine Sauron, réflexologue et réflexothérapeute

Les médecines douces connaissent, depuis ces dernières années, un fort engouement du public. Parmi elles, la réflexothérapie qui, en plus d’apporter du bien-être, soulage les maux de dos, de tête, d’estomac et les résultats sont avérés. Catherine Sauron, réflexologue et réflexothérapeute, installée à Clermont-Ferrand, revient sur les bienfaits de cette approche « énergétique » du corps.


Après trois années d’études au sein de l’école EDRA EDMAP à Nice, Catherine Sauron, reflexologue, est en train de terminer son cursus de réflexothérapeute. « A la différence de la réflexologie qui est plus axée sur la détente, la réflexothérapie correspond à un soin en réponse à des douleurs ciblées. La réflexologie comprend la réflexologie globale, plantaire, palmaire et faciale. Je prends la personne dans sa globalité. Quand il y a une douleur, je vais chercher plus loin en travaillant, avec mes mains, sur les méridiens du corps… sans aiguilles ! Le soin est ainsi complètement indolore. La thérapie m’intéresse vraiment car les résultats sont fabuleux.», explique Catherine Sauron.

Installée depuis le 4 juin 2014 au 145 boulevard Lafayette à Clermont-Fd, Catherine Sauron prend en charge adultes et enfants. Le plus souvent, pour des maux liés au stress, la fatigue et le mal de dos. Elle peut également consulter à domicile pour des personnes rencontrant des difficultés à se déplacer. « Je travaille à partir du diagnostic posé par le généraliste. La réflexothérapie est vraiment un complément à la médecine allopathique. Pendant un an, j’ai travaillé avec le Docteur Dalle qui est à l’initiative de l’ouverture du Centre des maladies du sein à la polyclinique Saint-Odilon à Moulins. J’ai pu assister à des opérations et voir la prise en charge de femmes atteintes de cancer. Une belle expérience qui m’a permis de me positionner par rapport au corps médical car la réflexothérapie ne peut pas se substituer à la médecine – et ne prétend pas le faire ! – mais elle permet de continuer à accompagner le patient dans le soulagement de sa douleur. »

Pour la première séance, Catherine Sauron dresse un bilan personnalisé du patient. S’ensuit un massage énergétique profond ou ciblé en fonction de la douleur à soulager. « L’énergie circule dans notre corps mais, parfois, des blocages énergétiques se forment. Par le massage avec des huiles essentielles et des accu-pressions, je vais débloquer cette énergie pour qu’elle circule de nouveau correctement. » Conscientes des vertus de la réflexothérapie, des entreprises l’ont sollicitée pour soulager les maux de dos de leurs collaborateurs.

En parallèle de la réflexothérapie, Catherine Sauron pratique également la sophrologie et l’aromathérapie. Un ou deux samedis par mois, elle organise (sur inscription) des ateliers «Découverte de l’aromathérapie» afin de présenter les huiles essentielles efficaces contre les bobos de tous les jours (plaies, piqûres d’insectes, maux de tête, etc.).

Une médecine douce mais efficace, à l’écoute du corps

Pour se faire connaître, Catherine Sauron a fait le choix de ne pas faire de publicité et préfère miser sur le bouche-à-oreille. Membre du Groupement Créateurs d’Entreprises Auvergne (GCE) depuis deux ans, elle privilégie beaucoup les contacts humains. « Ce réseau est une mine d’or pour échanger, avoir des conseils et rompre la solitude du chef d’entreprise. Il y a une secrétaire qui est absolument fantastique. Avec ce réseau, on va de l’avant ! » Catherine Sauron fait également partie de la Fédération Européenne pour le Développement de l’Aromathérapie et de la Réflexologie Globale (FEDAREG) afin de se tenir informée des nouvelles pratiques et évolutions de son métier.

Le souhait de Catherine Sauron : avoir une reconnaissance professionnelle de son métier comme étant une médecine complémentaire, une médecine douce mais efficace, à l’écoute du corps.

 



Publi-rédactionnel

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