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(VIDEO) Comme un air de magie à la cérémonie des vœux de l’IFYC


Le 24 janvier 2014, l’IFYC, centre de formation des experts comptables et des commissaires aux comptes, présentait ses vœux devant une centaine d’invités au Studio 120 à Cournon d’Auvergne. Pour l’occasion, Cirque Event avait concocté des animations magiques.


Luc TOMATI, Président de l’Ordre Régional des Experts Comptables d’Auvergne, Alain BUYENS, Vice-Président de la Compagnie Régionale des Commissaires aux Comptes de Riom et Laurent CLERMONT, Président de l’IFYC, ont tour à tour présenté leurs vœux à l’assemblée avant de laisser la parole à Jean-Pierre Cossin, conseiller maître à la Cour des comptes.

Tout au long de la soirée, les invités ont été charmés par les animations « magiques » de l’agence événementielle, Cirque Event. Magicien, diseuse de bonnes aventures et portraitiste ont exposé leur art plus ou moins insolite ! Le tout dans un cadre spacieux et moderne, celui du Studio 120, rue de Sarliève à Cournon d’Auvergne.

 « La TVA, un impôt pour le consommateur, une charge pour l’entreprise ? »

« La TVA n’est-elle pas une contrainte pour les entreprises ? », s’est interrogé Jean-Pierre Cossin, conseiller maître à la Cour des comptes. Créée en 1954, la TVA, qui s’est généralisée en 1966, est un « bon impôt » car un  impôt indolore, juste et réactif.

« La TVA cause des difficultés aux entreprises notamment dans l’insécurité du contrôle : gestion et recouvrement, respect des taux et des règles d’éligibilité, respect des règles particulières notamment celle de l’auto-liquidation de la TVA. La rétention de la TVA – involontaire ou non – constitue une faute grave car l’entreprise garde en quelque sorte de l’argent public ce qui peut lui valoir des risques de poursuite pénale. Si l’entreprise rencontre des difficultés pour verser son dû, il vaut mieux préférer demander des délais de paiement. »

Les difficultés économiques et budgétaires de la France contraignent l’Etat à réduire le déficit en augmentant les prélèvements obligatoires – notamment les prélèvements sociaux – et à réduire les dépenses publiques. « L’Etat a la volonté de faire de la progressivité dans l’impôt. Le changement des taux, notamment le passage de 19,6 % à 20 % au 1er janvier dernier, n’a pas une réelle incidence sur le pouvoir d’achat mais bel et bien sur les acteurs économiques. Des secteurs sont plus touchés que d’autres. Les centres équestres, par exemple, qui sont frappés par une disposition européenne et qui vont voir augmenter leur TVA de près de 15 points. D’autres, comme les restaurateurs, bénéficient d’un taux privilégié avec une augmentation progressive avec une TVA à 5.5 %, 7 % puis 10 %. », précise Jean-Pierre Cossin.

Un publi-rédactionnel du Journal de l’éco

Catty Tavel

 

 

 



Publi-rédactionnel

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