Commerce et Distribution

Le chocolat coule à flot au sein de l’Armoire à cuillères, rue des Chaussetiers à Clermont-Ferrand !

Le chocolat coule à flot au sein de l’Armoire à cuillères, rue des Chaussetiers à Clermont-Ferrand !

Le petit cocon chocolaté de l’Armoire à cuillères, vient d’être sélectionné comme « Pépite du Nouveau Monde ». Ce qui a plu au jury ? Le fait de retrouver un petit lieu magique comme celui-ci, le côté colibri dans l’âme « si chacun fait sa part… » mais aussi le fait que ce lieu participe au dynamisme du centre-ville de Clermont-Ferrand.
L’Armoire à cuillère, c’est plus qu’un bar à chocolat, c’est une invitation pour tous les gourmands à se régaler, dans une atmosphère intimiste et chaleureuse.


500 litres de chocolat chaud et 250 gâteaux maison

Les clermontois se sont montrés curieux et…gourmands ! Ils ont englouti pas moins de 500 litres et ont dégusté 250 gâteaux maison dès les premières semaines de l’ouverture de l’Armoire à cuillère. Les grands gagnants sont le cheesecake, le fondant au chocolat et le fondant aux pralines. Le savoir-faire de la pâtissière Mallorie Bournel ne laisse donc pas indifférent. Le lieu non plus. Le petit commerce cosy et intimiste dégage l’odeur veloutée du chocolat chaud et attire les passants avides de gourmandises sucrées.

Un lieu rempli de gourmandise

Mallorie Bournel : « Je voulais aussi un lieu rempli de gourmandise, d’aliments aux « vrais » goûts, de la farine qui a du corps, des œufs clairs et épais, du beurre qui sent fort lorsqu’il crépite dans la casserole, du miel qui secoue le fond du palet. Je crois sincèrement aux aliments de qualité, au pain frais à la mie alvéolée, aux légumes de mon producteur, celui-là avec les yeux bleus, et je crois au chocolat récolté dans le respect des codes du travail. Alors je me suis dit que cela pourrait être chouette, un endroit où retrouver tout cela.

Mais je voulais aussi embarquer mes amis d’enfance dans l’aventure : les bouquins. Parce que l’objet livre en tant que soi, son grammage, son toucher, crée une relation aussi charnelle que celle avec le chocolat. Et puis, j’étais nostalgique du bois, des tables massives sous les tasses fines, de café de caractère embaumant le coin de la rue, j’avais envie de goûters réconfortants, avec de parts généreuses, moelleuses ou croustillantes sous la dent, oui oui, « comme chez mamie ». J’avais envie d’un temps et d’un pays, d’une atmosphère et d’une odeur, et je voulais humer ce temps-là, le savourer, et le partager. Je voulais retrouver cet état d’abandon, cette manière de respirer et de penser différemment dans une ville étrangère. »



Un article de la rédaction du Journal de l’éco

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