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Nathalie Moreira : « une téléprospection locale, ciblée et auvergnate ! »

Nathalie Moreira : « une téléprospection locale, ciblée et auvergnate ! »

Téléopérateur. Un métier peu aimé par les particuliers mais si nécessaire pour les entreprises. Prospecter, informer, augmenter la clientèle… D’un relationnel avenant, Nathalie Moreira assure les actions de télémarketing B to B en privilégiant la qualité.


Rien ne prédestinait Nathalie Moreira à devenir téléopératrice. Et pourtant, il a suffit d’un compliment de son mari pour que cette quadra se rende compte qu’elle  « se débrouillait bien au téléphone ». Une révélation qui a fait naître un besoin d’indépendance et une volonté de travailler dans le télémarketing. En 2012, Nathalie Moreira décide ainsi de mettre un terme à son poste d’auxiliaire de vie, « trop prenant et trop physique » pour créer son auto-entreprise.

Véritable autodidacte, Nathalie Moreira commence son activité de centre d’appel en travaillant pour Ginkgo dans la prise de rendez-vous qualifiés. « Cette première expérience m’a plu. Certaines personnes n’aiment pas du tout le contact par téléphone. Moi, ça ne me gêne pas. » Mission accomplie, cet auto-entrepreneur est recommandé par les membres du BNI et décroche, grâce à ce réseau, des contrats avec Aber Propreté et le photographe 360 Xavier Huchet.

« Je propose mes services pour la prise de rendez-vous commerciaux en B to B, la réalisation d’enquêtes téléphoniques de satisfaction, de programmes de fidélisation client, la qualification de fichiers, le sondage téléphonique ainsi que la détection de leads. Avant de m’atteler au phoning, je m’entretiens avec mon client pour savoir comment celui-ci travaille, ce qu’il faut dire, ce qu’il ne faut pas dire pour que je puisse préparer mon argumentaire. C’est un argumentaire qui se fait très rapidement. Les 30 premières secondes sont essentielles. Il faut aller droit au but parce que les personnes n’ont pas de temps à perdre. »

Si les téléopérateurs des plateformes téléphoniques se font souvent « remballer », c’est très rarement le cas de Nathalie Moreira qui présente sa véritable identité, prend le temps d’écouter et met un point d’honneur à tenir une conversation aimable. « Faire appel à de gros centres d’appels, c’est impersonnel. Ce sont des personnes qui sont à l’étranger et qui ont un accent. Ce n’est pas toujours facile de les écouter car il y a toujours un arrière-bruit.  Je me différencie car je ne fais pas des appels à la chaine. J’essaie vraiment de créer une relation de confiance à travers un contact amical voire parfois convivial quand je suis amenée à rappeler plusieurs fois la même personne. Je propose un travail de qualité car je prends le temps, je m’adapte à la personne, à ses contraintes. C’est avec ces informations que je peux établir un contact plus personnel. Il y a plus de proximité entre nous. »

Afin de développer sa notoriété, Nathalie Moreira s’est rapprochée du Club des Prescripteurs d’Auvergne créé par Christophe Guérin. « Je me fais connaître principalement grâce au bouche-à-oreille depuis deux ans. Il est clair que faire partie de ce Club et être connue des membres du BNI est un plus ! » Et quand on lui demande de dresser le bilan de son activité, sa réponse est toute trouvée : « Je ne regrette rien ! ».

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Publi-rédactionnel

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