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Saint-Étienne : Pizza Cosy poursuit son développement, en visant la création d’une dizaine de franchises d’ici fin 2017

Saint-Étienne : Pizza Cosy poursuit son développement, en visant la création d’une dizaine de franchises d’ici fin 2017

Cinq ans après l’ouverture de leur première pizzeria, à Saint-Etienne, Florent Mercier et David Cellier ont étendu le concept de Pizza Cosy dans plusieurs villes de France et devraient s’installer à Lyon prochainement.


Un objectif de dix nouveaux magasins d’ici un an

Après Saint-Chamond en 2014 puis Saint-Priest-en-Jarez en 2015, Florent Mercier et David Cellier veulent créer de nouvelles franchises, tout d’abord en Auvergne-Rhône-Alpes. Parallèlement, ils ont créé la société de franchise JDF Invest avec Jonathan de Sanctis, qui a ouvert à Veauche en mai dernier. Il s’agit du premier magasin franchisé du groupe. Un quatrième magasin devrait ouvrir à Firminy, à l’emplacement de la Fourneria.

Un recrutement en début d’année 2017

Les trois associés sont très actifs et sont souvent remarqués lors d’événements, qui mettent en avant toutes sortes d’entrepreneurs. Grâce aux différents trophées remportés, les fondateurs de Pizza Cozy ont largement pu se faire connaitre et ainsi créer un véritable réseau. Ils ont notamment gagné le prix 2016 du créateur repreneur d’entreprise de la Loire, assorti d’un chèque de 2 500 euros, pour la création de la société JDF Invest.

Les prochaines franchises qu’ils souhaitent conclure pourraient voir le jour début 2017 à Issoire. Par la suite, Pizza Cosy viserait l’agglomération de Lyon. Le chiffre d’affaires prévisionnel s’élève à 2,5 millions d’euros pour l’année à venir, contre 1,8 cette année. La jeune entreprise prévoit de recruter au début de l’année, afin de structurer son développement.

Une cuisine centrale et un entrepôt

La prochaine étape de l’enseigne est la mise en place à Sorbiers, en février, d’une cuisine centrale et d’un entrepôt frigorifique, qui représente un investissement de 400 000 euros. Le but est de confectionner des produits frais, avant qu’ils soient distribués dans les différentes boutiques. « Nous mettons l’accent sur la qualité en achetant la farine à l’un des meilleurs moulins italiens. C’est de même pour la mozzarella, les tomates, fromages AOP… », déclare Florent Mercier.



Un article de la rédaction du Journal de l’éco

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