ABER Propreté : « Des agents au service de l’excellence »

De l’entretien des bureaux, jusqu’à la désinfection de salles blanches en passant par le nettoyage industriel, ABER Propreté vise en permanence l’excellence. Avec cette entreprise, acteurs privés et collectivités ont assurément placé la propreté de leurs locaux entre de bonnes mains. « Nous nous inscrivons dans une politique de développement durable afin de réduire la toxicité des produits de nettoyage, notre consommation d’électricité ainsi que notre empreinte carbone. Ce pourquoi 95 % des produits que nous utilisons sont éco-labellisés. Nous utilisons des auto-laveuses à basse consommation électrique et à faible consommation d’eau.».

Outre la protection de l’environnement, José Sanchez, directeur d’ABER Propreté Clermont-Ferrand, a mis en place une politique de ressources humaines résolument tournée vers l’humain. « Nous valorisons nos agents qui travaillent, qui se lèvent tôt le matin et se couchent tard le soir pour apporter une qualité de prestation. Il ne faut pas oublier que ces gens-là vivent dans l’ombre. On ne les voit jamais puisqu’ils interviennent le plus souvent quand les salariés de l’entreprise qui a sollicité un nettoyage sont partis. Il faut valoriser leur travail car leur métier n’est pas facile et mal connu. Afin de pouvoir permettre aux salariés d’avoir des temps-plein plutôt que d’avoir une multitude de contrats précaires, nous incitons nos clients à opter pour des prestations de nettoyage en journée (8h-18h). »

Dès leur arrivée dans l’entreprise, les agents sont formés aux techniques de nettoyage de base mais aussi au bio nettoyage, à l’ultra propreté, la désinfection ainsi qu’aux bonnes pratiques de nettoyage industriel. « Nous dispensons des parcours certifiants (CQP) à nos collaborateurs grâce à l’organisme de formation du secteur hygiène/propreté, l’INHNI. Ces diplômes sont reconnus au niveau national pour les techniciens, laveurs de vitre et agents de maîtrise. »

Pour promouvoir son entreprise de nettoyage, José Sanchez préfère le bouche-à-oreille et s’appuie sur des réseaux d’affaires et d’entreprises. « Depuis 2009, nous sommes passés de 50 à une centaine de salariés avec un chiffre d’affaires qui lui aussi a bien évolué. Je pense d’ailleurs recruter afin de pouvoir couvrir le département de l’Allier. »