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Air to Go confirme : il fait bon respirer en Auvergne !

Air to Go confirme : il fait bon respirer en Auvergne !

La qualité de l’air demeure une préoccupation environnementale majeure pour les Français. 83% des habitants de la région se disent inquiets de la qualité de l’air qu’ils respirent. Pourtant, la qualité de l’air s’améliore et l’année 2017 ne déroge pas à la règle. Pour fournir des clés de compréhension sur les enjeux et donner au quotidien une prévision précise et localisée, Atmo Auvergne-Rhône-Alpes diversifie ses moyens de communication. L’objectif est de permettre à tout un chacun de respirer un air de bonne qualité au quotidien.


Grâce à l’application Air to Go, vous pouvez désormais rester informés de la prévision quotidienne autant que pour le lendemain à l’endroit où vous vous trouvez avec une précision à 10 mètres sur les agglomérations de ClermontFerrand, Moulins, Aurillac, Vichy, Montluçon, Le Puy-en-Velay.

Air to Go est un service numérique d’aide à l’amélioration de son exposition personnelle à la qualité de l’air en Auvergne-Rhône-Alpes. Air to Go permet de vérifier avec précision la qualité de l’air de l’endroit où l’on se trouve, de choisir la meilleure qualité de l’air pour ses itinéraires à pied ou à vélo, d’être informé lorsque l’on reste trop longtemps dans une zone à risque ou concernée par un épisode de pollution.

A cela s’ajoute le bilan annuel de qualité de l’air décliné pour chaque département et pour les principales agglomérations. Il présente sous la forme de cartes, les endroits exposés à la pollution et ceux qui sont préservés. Ce bilan met également en avant la mobilisation conjointe de l’Etat, des acteurs régionaux et locaux pour agir en faveur d’une meilleure qualité de l’air.

L’ Auvergne : Une zone où il fait bon respirer

Les mesures et estimations par modélisation de Air to Go montrent que ce territoire est peu concerné par les dépassements réglementaires. A ce jour, seule l’agglomération de Clermont-Ferrand est sensible au NO2 mais uniquement en proximité routière, à l’instar des autres agglomérations.

Cependant, 2017 est la première année où aucun dépassement réglementaire n’a été constaté sur les sites de mesures, même si les niveaux restent proches de la valeur limite et que l’évaluation par modélisation cartographique pointe encore quelques linéaires touchés.

La partie périurbaine d’altitude de Clermont-Ferrand (sommet du puy de Dôme) ainsi que certaines autres zones d’altitude restent touchées par l’ozone (O3) en période estivale. Toutefois, les surfaces et les populations exposées sont modérées.

Quelques territoires de vigilance – qui concernent de faibles superficies- sont à signaler : la problématique réglementaire de proximité routière en NO2 en lien avec le trafic de la N7 qui traverse encore des villages comme c’est le cas à Villeneuve-sur-Allier, mais aussi quelques lieux liés à des sites industriels, pour lesquels les niveaux de certains composés peuvent être atypiques et donc à surveiller, mais sans dépassements réglementaires. D’une manière globale, le territoire Auvergnat est un secteur assez préservé.

En savoir plus : www.airtogo.fr



Communiqué de presse

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