Tech & Innovation

La FFAM face aux dérives individuelles de la pratique de l’aéromodélisme

La FFAM face aux dérives individuelles de la pratique de l’aéromodélisme

La FFAM, fédération sportive pour l’aéromodélisme, est mobilisée sur la problématique de la réglementation applicable aux aéronefs sans personne à bord … plus communément appelé : drones !


Mobilisée pour l’ensemble des pratiquants, la Fédération accueille, forme et valorise au travers des championnats, manifestations publiques ou compétitions, l’ensemble des disciplines, allant du vol radiocommandé au vol libre en passant par le vol circulaire et l’astromodélisme.

Les formations sont délivrées à partir de modèles réduits d’avions, hélicoptères, planeurs, ballons, fusées et désormais les drones.

Les formations et les messages de sécurité diffusés au sein des 780 clubs maillant le territoire font que la pratique d’aéromodéliste s’effectue dans un respect des règles et avec un niveau de sécurité important. Les aéromodélistes font évoluer leur modèle de manière responsable.

L’aéromodélisme
Il regroupe toutes les disciplines qui ont pour but de faire voler un aéromodèle, véritable machine volante en réduction. Cet aéromodèle pourra prendre la forme d’un avion, d’un planeur, d’un hélicoptère, d’une montgolfière, pour les types de machines les plus courantes. Mais il pourra aussi être le fruit de l’imagination ou être la réplique d’un engin volant existant ou ayant existé, on parle dans ce cas de maquette volante.

Le drone, nouvel fascination qui peut porter préjudice

À l’inverse, la FFAM regrette que des utilisateurs amateurs de drones multicoptères à usage de captation d’images se dérobent à l’application de la loi française et fassent à la fois peser un risque sur les personnes et portent atteinte à la pratique d’aéromodéliste.

Il faut toutefois rappeler que le pouvoir de police ne relève ni de la responsabilité de la fédération française d’aéromodélisme ni de celle de ses ligues ou clubs. Elle n’a pas pour mission de se substituer aux services de l’État dans ces tâches de contrôle. Par contre, en alertant les utilisateurs d’aéronefs sans personne à bord, la FFAM entend contribuer à la sensibilisation des usagers quant aux risques encourus.



Un article de la rédaction du Journal de l’éco

Si vous avez aimé cet article,
partagez le !