Auvergne

La série de web vidéos Vues d’Auvergne lance sa troisième saison !

La série de web vidéos Vues d’Auvergne lance sa troisième saison !

En décembre dernier au théâtre de Châtel-Guyon, l’équipe de Vues d’Auvergne a fêté le lancement de sa troisième saison. Consacrée aux lieux les plus remarquables du territoire auvergnat, cette web série lancée en 2013 bénéficie d’un succès grandissant. Une occasion de rencontrer Marc-Alexis Roquejoffre, producteur et présentateur de l’émission, qui ne cesse de promouvoir et valoriser sa région de cœur.


Depuis 3 ans, Vues d’Auvergne répond à trois axes fondamentaux : traiter d’un lieu remarquable, donner la parole aux passionnés de ce lieu, le faire découvrir « d’en haut », c’est à dire grâce à des images aériennes prises par drone.

Avec cette troisième saison, l’équipe de production compte à son actif 13 reportages différents choisis par « coups de cœur » selon Marc-Alexis Roquejoffre, qui précise :« Nous ne traitons pas que des lieux connus de tous, certaines idées de sujets peuvent naitre au détour d’une conversation entre amis. Par exemple, nous consacrons un sujet au village de Souvigny, que je ne connaissais pas avant, et qui se trouve être le berceau de la dynastie des Bourbon. »

De Souvigny à Salers en passant par Châtel-Guyon, le site de la Chaise-Dieu ou encore le stade Marcel Michelin, Vues d’Auvergne entend proposer des balades variées à ses téléspectateurs : « De même, j’en appelle aux pouvoirs publics, aux chefs d’entreprises et aux acteurs économiques, qui peuvent tout à fait me proposer des sujets ! », annonce ouvertement le producteur.

Un acte de foi

Avec son expérience de journaliste de radio et de télévision, Marc-Alexis Roquejoffre avait envie de produire une émission sur les perles du territoire, tout en mettant les acteurs de la région au centre du sujet : « Sans les hommes et les femmes du territoire, le reportage n’a pas de sens. Nous donnons la parole aux passionnés, aux historiens, aux acteurs économiques, aux pouvoirs publics, notamment aux maires, qui y voient l’occasion de s’exprimer et promouvoir leur commune. »

Si certains ont qualifié l’initiative du producteur « d’acte politique », lui le définit comme un véritable « acte de foi » : « Foi en l’Auvergne, foi en les valeurs qui peuvent nous animer, foi dans le territoire, dans les traditions, le tourisme qui peut en découler. » Originaire de Limoges, il met un point d’honneur à affirmer l’importance des racines : « Il me semble qu’on a tous besoin de se raccrocher à ce qui fait notre identité. A partir du moment où un projet met en valeur les racines du territoire, le reportage peut intéresser un large public. Je suis toujours surpris de la variété des téléspectateurs de Vues d’Auvergne, qui peuvent être très jeunes comme plus vieux, et issus de catégories socio-professionnelles complètement différentes. »

Clin d’œil à Rhône-Alpes

Tout en affirmant la nécessité de conserver les identités respectives, Marc-Alexis Roquejoffre n’en est pas moins intéressé par le potentiel de la Grande Région : « Comme dans un couple, si les deux parties veulent faire abstraction du passé de chacune, elle sont vouées à l’échec. La force des deux régions fera l’identité du couple. Vues d’Auvergne a de belles heures devant elle, parce que le mot « Auvergne » doit continuer d’exister dans les esprits et le vocabulaire collectif ». C’est accompagné de cette pensée que le producteur a eu l’occasion de rencontrer le rédacteur en chef de Télé Lyon Métropole, dans le cadre d’une éventuelle diffusion des reportages sur la chaine lyonnaise.

En exclusivité, Marc-Alexis Roquejoffre nous livre le thème de la quatrième saison de Vues d’Auvergne, axée sur l’eau : « L’eau est à la fois une ressource naturelle, une source de bien-être et un levier de développement économique. Nous allons donc traiter La Bourboule, Volvic, Chaudes-Aigues ou encore Vichy. En guise d’introduction, nous aimerions réaliser une séquence sur un bateau mouche sur le Rhône, en plein cœur de Lyon ». Un jolie clin d’œil que les téléspectateurs sauront apprécier !



Publi-rédactionnel

Si vous avez aimé cet article,
partagez le !