Non classé

L’Auvergne et le rugby | Une longue histoire d’amour

L’Auvergne et le rugby | Une longue histoire d’amour

L’ASM a toujours eut une place particulière dans le cœur des clermontois, comment se sont-ils intégrés au patrimoine auvergnat ?


L’ASM, fondé en 1911 par Marcel Michelin qui était le fils de André Michelin, l’un des fondateurs de l’entreprise de pneumatique a son nom. Le club évolue vite et accède à la première division du rugby français en 1925 et depuis le club n’est jamais redescendu. Leur premier titre date de 1938 grâce au challenge Yves du Manoir. Le club Montferrandais connaîtra de nombreuses finale sans remporter de grands titres mis à part 2 autres Challenge Yves Du Manoir. Après dix défaites en finals de championnat, les jaunes et bleus remportent enfin leur premier bouclier de Brenus en 2010 notamment grâce au Néo-Zélandais Vern Cotter, l’entraîneur, et Brock James qui a inscrit 2485 points sous le maillot clermontois. Ainsi que la famille Rougerie qui à largement concourus sur les terrains et en interne.

Le club doit sa longévité au groupe Michelin et à ses supporters car le rugby à longtemps était le seul sport dans lequel la ville de Clermont performait. L’ASM est désormais inscrit dans l’identité de la région et a une popularité nationale. Le club performe depuis presque 1 siècle et le public a toujours été au rendez-vous. Mais très récemment, le club a connu une baisse de popularité au sein de la ville à cause des mauvais résultats et de l’émergence du Clermont foot, monté l’an dernier en ligue 1.

Le président Jean-Michel Guillon veut donc revitaliser le club d’ici 2025 et devenir, selon ses dires « une référence ». Ses ambitions sont très grandes, il veut jouer le titre de champion de France dès la saison prochaine malgré la septième place de l’année passée. Il veut également remporter le premier titre européen clermontois d’ici 2025. Il veut donc faire de l’ASM une « équipe leader ». De grands changements au sein du club feront leurs apparitions notamment avec une méthode de travail différente et l’arrivée de plusieurs joueurs. Ces changements pourraient bien porter leurs fruits et ainsi ramener du public au stade Marcel-Michelin.



Un article de la rédaction du Journal de l’éco

Si vous avez aimé cet article,
partagez le !