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Société Générale à la pointe des solutions de paiement sur Internet

Société Générale à la pointe des solutions de paiement sur Internet

Le moins que l’on puisse dire est que le commerce en ligne français ne connaît pas la crise. Avec une hausse de 14,3 % des transactions en 2015 (1), ce secteur écrase littéralement le commerce traditionnel dont la hausse plafonne péniblement à 1,1%. Mais le commerce en ligne doit sécuriser à la fois le client et le commerçant, tout en assurant la meilleure fluidité possible des transactions. Une équation pas toujours simple à résoudre. Le Journal de l’éco a rencontré Axel Dahan, Chargé d’affaires Paiements et Cash Management à la Société Générale.


Les achats en ligne s’ancrent dans les habitudes de consommation

L’année 2015 a enregistré 700 millions de transactions en ligne pour un montant de 56,8 milliards d’euros. 34,7 millions de français achètent sur Internet, soit 79 % des internautes. Parmi eux, 6 millions ont déjà réalisé un achat à partir d’un mobile ou d’une tablette. Le secteur du tourisme, loin devant l’habillement, tient le haut du classement avec pas moins de 32 % des transactions. Il est intéressant de constater que les ¾ des acteurs de la vente en ligne disposent aussi de leurs propres points de vente physiques. C’est ce qui fait dire à Axel Dahan, qui intervient en accompagnement des chargés de clientèle entreprises de la Société Générale, que « nous assistons à un transfert des moyens de paiement habituellement utilisés en boutique vers les sites de E-commerce. »

Les solutions de la Société Générale

Une première solution proposée par la Société Générale est Sogenactif. Elle permet au commerçant d’effectuer l’encaissement, en capturant les données de la carte du porteur dans un environnement sécurisé. Un reporting est accessible via un extranet ou est envoyé quotidiennement par courriel.

La deuxième solution innovante est Paylib. Destinée à l’utilisateur réticent à communiquer son numéro de carte bancaire, elle permet de créer un alias. Au moment de valider son panier, l’internaute est dirigé sur la page de Paylib afin de s’identifier. Ce n’est que par le biais de l’application bancaire de sa banque qu’il est possible de valider la transaction. Le commerçant en est informé sans jamais avoir eu connaissance des données bancaires du client.

Dernière innovation en date : la carte nouvelle génération ultra sécurisée. Spécialement étudiée pour les achats en ligne, son cryptogramme change toutes les 45 secondes. Cette technologie est destinée à combattre le phising (2) et rend impossible la réutilisation des données qui deviennent obsolètes.

« Aujourd’hui, nombre de solutions cohabitent, souligne Axel Dahan. Les comportements sont assez variés. Pour certains, le smartphone peut être préféré à la carte bancaire. Dans tous les cas, l’innovation permet de développer de nouveaux services, tout en renforçant la sécurité et la fluidité des transactions. La sécurité ne peut avoir que des contraintes, mais il est possible de les ajuster en fonction du canal utilisé pour effectuer l’achat. »

La Société Générale traite 1 paiement en ligne sur 5

Dix e-commerçants figurant dans le top 20 en France utilisent les solutions de paiement de la Société Générale. C’est le cas par exemple de Vente-Privée, Priceminister ou encore de ShowroomPrivé. En tant qu’un des principaux leaders du e-commerce hexagonal, la banque est à même de proposer à ses 8 millions de clients particuliers et à ses 475 000 clients professionnels des solutions adaptées à chaque besoin.
« Pour le commerçant, il est important que celui qui effectue l’acte d’achat soit bien le titulaire du compte ou de la carte. Et pour le titulaire de la carte, il est primordial qu’il n’y ait pas d’usurpation. Les solutions d’encaissement proposées par la Société Générale intègrent des niveaux de sécurité qui permettent à chacun d’être en confiance. La diversité des moyens de paiement, permet aussi de satisfaire les attentes. C’est là que nos conseillers interviennent. D’un côté pour conseiller au mieux les particuliers dans le choix de leur moyen de paiement. Et de l’autre pour orienter les professionnels vers le moyen d’encaissement le plus adapté à leur secteur d’activité. », conclut Axel Dahan.

(1) Source : Fevad
(2) Technique visant à usurper les données sensibles d’un internaute



Publi-rédactionnel

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