Société
Il est annoncé comme celui de tous les records : l’été 2022. Postpandémie, les touristes ont une ferveur envie de départ et d’aventures. Mais les transports, quels qu’ils soient, ne semblent pas être coopératifs avec les voyageurs.
Les grèves dans les aéroports se multiplient, tout comme celles dans le transport ferroviaire. Cette sanction liée à la mobilité est un véritable casse-tête pour ces Français à qui l’on empêche de rejoindre leur lieu de vacances.
Alors quelles sont les alternatives ? Comment et pourquoi le séjour de proximité tire-t-il son épingle du jeu ?
Le voyage longue distance est enfin de retour, les barrières frontalières ne sont plus qu’un mauvais souvenir. Mais cette année, bon nombre de Français ont bien du mal à arriver à destination : annulation de vols en cascade ou encore grève des TGV. Ces voyageurs, qui ont attendu trois longues années avant de pouvoir rêver grand à nouveau, se retrouvent une fois de plus cloués chez eux.
Si depuis trois ans le tourisme de proximité est devenu une tendance forte, il apparait que cette année le choix du local reste encore très adapté à la situation du pays. Pour les réservations faites il y a une semaine ou 6 mois, le voyage de proximité semble être celui de la tranquillité.
La tendance du tourisme de proximité s’impose d’autre part comme une évidence cette année au regard des mesures prises par la région Auvergne-Rhône-Alpes qui tire son épingle du jeu et met en avant le tourisme durable.
Ce dernier permet en effet de repenser son empreinte carbone et son utilisation des transports aériens, en phase alors avec les mouvements de grève prévus cet été.
Un article de la rédaction du Journal de l’éco