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Une réponse qui dépasse la demande pour Optimus Robotics

Une réponse qui dépasse la demande pour Optimus Robotics

Le partenariat avec le groupe Visiativ permet à Philippe Bougard, PDG d’Optimus Robotics, de trouver des solutions qui le propulsent au sommet de l’innovation en matière de robotique.


Avec à son actif six créations d’entreprises, Philippe Bougard se définit comme un « serial entrepreneur ». En toute légèreté. Cet ingénieur de 52 ans a toujours partagé l’axiome de Confucius : « Choisis un travail que tu aimes et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie ».

C’est donc ainsi, sans se prendre au sérieux, qu’il dirige deux sociétés spécialisées dans la manutention des charges lourdes : Leanlog Solutions créée il y a 10 ans et Optimus Robotics, qui a vu le jour en 2014. Cette dernière commercialise des robots de manutention de la gamme Twinbot destinés à déplacer les charges lourdes automatiquement et de façon synchronisée. Pour Philippe Bougard, ce nouveau produit n’en est pas un. Quand il lance son premier robot en 2005, le marché n’est pas encore mature. En effet, il y a 10 ans, proposer des solutions robotiques relevait de l’audace. Mal acceptées par les entreprises qui les considéraient comme une menace pour l’emploi ; tout le contraire de la vision actuelle.

 

Une révolution égale à l’arrivée de l’électricité

« Aujourd’hui, les robots sont perçus comme une solution pour l’emploi, rebondit Philippe Bougard. Et je m’en réjouis. Je suis un passionné de technologies car elles changent le monde et nos modes de vie. Je les compare à l’arrivée de l’électricité au début de XXème siècle. Je garde en mémoire les histoires de ma grand-mère de la vie d’avant. Témoin de l’avènement du numérique, je refais la même expérience avec les jeunes. Ce que je trouve le plus fabuleux, c’est que dans les prochaines années, le numérique ouvrira des possibilités vers des nouveaux modes de vie et des fonctionnements que l’on n’a même pas encore envisagés ».

 

Rester compétitif face à des pays low cost  

Attentif observateur de la vie et du marché, Philippe Bougard a créé sa dernière entreprise Optimus Robotics à la demande d’anciens clients le sollicitant pour maintenir le parc de machines dont ils disposent déjà. Cette demande arrive au moment où la robotique se démocratise et rencontre de plus en plus d’adeptes à la fois auprès du grand public que des entreprises. Les robots Roméo et Nao de l’Atelier Aldebaran Paris, destinés aux personnes âgées ou encore les outils robotisés qui facilitent le ménage ou le jardinage, en sont le parfait exemple. Quant aux entreprises, elles délaissent leurs réticences antérieures au profit de l’idée que la robotique représente « l’un des seuls moyens pour être compétitif face à des pays low cost ».

 

Twinbot polyvalent

Avec son Twinbot, un engin polyvalent et autoguidé qui déleste l’homme des charges les plus pénibles, Optimus Robotics est à la pointe de l’innovation. « Aujourd’hui, il y a peu d’acteurs dans la robotique, précise P. Bougard. Les grandes sociétés dans la manutention les mettent en œuvre, mais n’apportent pas beaucoup de nouveautés. Nous utilisons non seulement des nouveautés technologiques, mais également en termes de navigation via un système suisse permettant à la machine de se repérer dans l’espace. Nous apportons nos solutions à partir des éléments de base, en ajoutant des options ; favorisant une grande souplesse par rapport à la demande des clients ».

Enfin la stratégie de l’entreprise consiste à commercialiser ses produits mais aussi à proposer un service complet grâce à une offre de location permettant au client d’adapter ses coûts. Une stratégie résumée dans la formule : « Ne payez que ce que vous utilisez » et remplaçant progressivement la vente des équipements par un service de location à l’usage et à la carte. « Vendre le service que la machine rend » est une autre des innovations, cette fois dans le domaine du marketing, qu’Optimus Robotics entend défendre.

 

Service à la carte

Ce positionnement innovant ne peut pas faire d’économie en matière de solutions numériques. L’entreprise les intègre dès son lancement en 2006 et travaille en « cloud » depuis 2009. Actuellement toutes les informations qu’elle traite, que ce soit des données sur les marchés, des plans de conceptions ou la comptabilité, sont numérisées et interactives. Ses 15 salariés plébiscitent les systèmes collaboratifs et la société ne consomme presque plus de papier, « deux ramettes par mois, et encore … ». Avec les clients et les fournisseurs, les échanges se font grâce à un logiciel de CRM en « cloud ». Utilisant depuis le début, SOLIDWORKS , un logiciel de CAO (Conception Assistée par Ordinateur), l’entreprise vient d’ajouter à cela un système PDM (Product Data Management) qui lui permet de classer les sous-ensembles, les plans et documents de conception.

 

Avancer dans l’organisation et la conception

« Nous n’avons pas fait de transition numérique, nous y sommes allés dès le début, souligne P. Bougard. Les outils numériques nous permettent de nous organiser. Ils nous font avancer dans la conception, rendent possible la création de sous-ensembles réutilisables. Les bénéfices sont également dans l’économie de temps, même s’ils ralentissent certaines opérations, ils accélèrent la majorité de nos processus. L’avantage est que nous travaillons tous dans l’instantanéité. Nous partageons le même niveau d’information en interne, avec nos clients, nos fournisseurs et notre comptabilité. Cette structure informatique moins lourde favorise surtout le travail à distance. Nous avons par ailleurs allégé significativement notre mobilier ». Optimus Robotics note également une avance par rapport à la concurrence : une capacité à intervenir plus vite, une grande progression en matière de créativité, une possibilité de réagir et de travailler en réseau.

 

Le bon choix

Aujourd’hui, le numérique est si intégré dans la culture de l’entreprise que selon son patron, « si demain on décidait d’arrêter les outils CRM, personne ne pourrait plus travailler ». Et de souligner le rôle décisif de l’accompagnement du groupe Visiativ qu’il a sollicité pour la mise en place de SOLIDWORKS . « J’ai fait un bon choix, insiste Philippe Bougard. J’ai eu un appui fort de la part de M. Guillaume Anelli d’Axemble (filiale de Visiativ) qui m’a aidé non seulement sur le plan technique mais aussi pour le recrutement d’un salarié. La prestation du groupe dépasse ma demande et m’aide au-delà de l’aspect commercial. Nous avons une excellente relation qui me conduit à partager avec eux des problématiques liées au développement de l’entreprise. Nous allons aller progressivement de plus en plus loin : nous nous entendons parce que l’on se ressemble ». Ainsi Optimus Robotics trouve chez son prestataire la même réponse qu’elle apporte à ses clients, une solution haut de gamme et une réponse globale.

C’est la raison pour laquelle Philippe Bougard est devenu ambassadeur d’Up numérique. Une démarche qui selon lui, permettra à tous d’être de véritables partenaires et de grandir ensemble.



Publi-rédactionnel

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