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Le Mondial des Métiers s’installe à Eurexpo

Le Mondial des Métiers s’installe à Eurexpo
Faire un choix professionnel, même pour une période, est un moment décisif d’une vie

Collégiens ou lycéens, demandeurs d’emploi, personnes en reconversion professionnelle… Ce sont les publics visés par le Mondial des Métiers qui se déroule du 6 au 9 février à Eurexpo. Ce salon permet de partir à la découverte des métiers et de l’information sur les choix professionnels.


Des centaines de professions seront présentées ainsi que des dizaines de formations initiales ou continues accessibles avec des informations sur les débouchés possibles ou les besoins de recrutement.

Chiffres clés
– 2,4 millions de visiteurs accueillis depuis la création du salon il y a 24 ans,
– 119 091 visiteurs reçus en 2019,
– 27 000 m2 d’exposition,
– 4 000 personnes mobilisées pour présenter les métiers et les dispo- sitifs de formation, dont 1 700 jeunes en formation et 700 formateurs,
– 68 domaines professionnels,
– plus de 700 métiers et fonctions présentés,
– plus de 100 métiers en démonstration ou faisant l’objet d’animations, • près de 300 conférences, ateliers et réunions professionnelles,
– 107 stands, soit une hausse de 6 %,
– 94 % de taux de satisfaction.

Des carrières avec plusieurs métiers

« Aujourd’hui, il faut savoir faire preuve de flexibilité. Il est évident que chacun exercera des métiers différents tout au long de sa carrière. Certains de ces métiers n’existent même pas encore. L’impact du numérique sur les métiers et sur les entreprises constitue un vrai bouleversement », souligne Alain Huet, administrateur de l’Association Auvergne- Rhône-Alpes pour l’orientation et la promotion des métiers (AROM).

En parlant de numérique, de nombreux secteurs professionnels représentés auront recours aux serious games, à la réalité virtuelle et aux simulateurs pour présenter leurs métiers en mode immersif.

« Nous avons investi 300 000 € dans la réalisation de films de mises en situation des 13 métiers les plus en tension, comme conducteur routier, boulanger ou technicien d’usinage », fait savoir Jean-François Bénévise, directeur à la Direccte.



Un article de la rédaction du Journal de l’éco

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